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MINI CENTRALE HYDROÉLECTRIQUE DE GANGELAS
Le projet de la Mini Centrale Hydroélectrique de Gangelas a répondu au défi de fournir de l’énergie fiable pour l’irrigation de la région de Chibia dans la province de Huíla, en Angola. En exploitant le pouvoir du barrage de Gangelas, le projet a garanti une production d’énergie en continu à l’année et a facilité l’irrigation d’une zone considérable. En retour, cela a promu le développement économique, en particulier dans le secteur de l’agriculture, et a amélioré le bien-être général des communautés locales.
La région de Chibia dans la province de Huíla, en Angola, rencontrait un défi quant à l’approvisionnement d’une source d’énergie constante pour des fins d’irrigation, particulièrement durant la saison sèche. Cela limitait le développement de l’agriculture et compromettait l’économie locale.
Pour résoudre ce problème, le projet de la Mini Centrale Hydroélectrique de Gangelas a vu le jour. Celui-ci a impliqué la construction d’une mini centrale hydroélectrique de 1.2 MW avec deux unités, située dans le barrage de Gangelas. De plus, une ligne de transmission aérienne de 15 KV, couvrant 5,5 km, a été mise en place pour relier la centrale à la station de pompage d’eau.
Le projet a eu un impact important sur la région. L’objectif principal de la centrale hydroélectrique a été d’assurer la production d’énergie durant la saison sèche. Cela a permis le fonctionnement du système de pompage d’eau requis pour des raisons d’irrigation.
En fournissant une source fiable d’énergie pour l’irrigation, le projet a facilité l’approvisionnement en eau d’approximativement 1 500 hectares. Cela promut le développement de l’économie locale, plus particulièrement dans le secteur de l’agriculture. L’accessibilité d’eau pour l’irrigation a contribué à l’augmentation de la productivité agricole, menant à une croissance économique, de la création d’emplois et une subsistance améliorée pour la communauté.
Le projet Gangelas a commencé en avril 2013 et s’est terminé avec succès en août 2015 sous les auspices du ministère de l’Agriculture d’Angola. Il a joué un rôle crucial l’approvisionnement durable et constant d’eau pour l’irrigation, surmontant les limitations imposées par la saison sèche.
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